• ...

    A écouter !


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  • Une de mes collègues m'a dit aujourd'hui qu'elle me trouvait très courageuse de faire tout ce que je fais.

    Moi je ne me trouve pas spécialement courageuse, je veux juste être maman et je veux me donner tous les moyens de réussir.


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  • Vous ne pouvez pas savoir à quel point c'est frustrant de ne pas savoir pourquoi ça ne marche pas !!!

    J'espère que la biopsie pourra enfin nous éclairer !!!


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  • Un peu d'humour entre deux pleurs, ça ne fait pas de mal !

    Pourquoi ce titre ?

    Tout simplement car je pourrais avoir un utérus babykiller !

    Dans l'endomètre, il y a des cellules immunitaires qui interviennent dans l'implantation de l'embryon.

    Si leur nombre est insuffisant ou trop élevé, la nidation peut être empêchée ou s'il y a la nidation l'utérus fera tout pour se débarrasser de l'embryon.

    Pour savoir s'il y a un souci de ce côté-là, il faut faire une biopsie de l'endomètre entre le 6è et le 9è jour après l'ovulation ( c'est la période implantatoire)

    Donc il faut que je retourne à Paris lundi prochain (youpi !!!), pour contrôler l'ovulation et l'évolution de l'endomètre puis y retourner le lundi ou le mardi après pour faire la biopsie (reyoupi !)

    Autant vous dire que les finances vont se retrouver fortement diminuées ce mois-ci, d'autant plus que cet exam n'est pas remboursé par la sécu et qu'il coûte la modique (maudite?) somme de 371,36 € !!!

     

    Youhou !!!!!!


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  • Aujourd'hui nous repartons sur Paris. Nous avons rdv demain aprem pour faire le point sur ce nouvel échec. Le doc souhaite me faire d'autres examens, on verra bien !

    Le moral n'est toujours pas top, dur dur d'aller de l'avant...


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  • Une tentative...

    Il nous reste qu'une tentative.

    Jamais je n'aurais pensé qu'un jour nous en serions là...

     


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  • négatif ...


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  • Eh oui, demain, c'est le jour de la pds...

    Va falloir trouver la force d'y aller, la force de ne pas craquer devant la secrétaire puis la laborantine.

    Va falloir afficher le smiley toute la journée devant les enfants, les parents.

    Répondre avec le sourire que j'ai passé de bonnes vacances quand on me posera la question.

    Encore et encore ...

    Et jusqu'à maintenant j'ai tenu mais je ne suis pas infaillible...


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  • Et un échec de plus, un !

    Les rrr ont débarqué.

    Je vais quand même faire la pds lundi, faut boucler le dossier...


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  • Notre petit bout sera un pupille. L'adoption internationale est trop incertaine, trop stressante et financièrement ingérable...


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  • mouaip, mauvaise nuit...

    Je suis dans un brouillard, je me sens ni vide ni pleine...

    Hier, on s'est dit avec mon homme que si ça marchait, ça ferait bizarre...

    Cela fait cinq ans que l'aventure a commencé, va-t-elle prendre fin positivement ?


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  • Depuis hier, j'ai mal à l'utérus. Alors je me dit que peut-être que ce sont les loulous qui prennent leur place, qui sait !

    Je trouve que le temps passe très lentement ...


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  • J-7

    Eh oui dans 7 jours on saura !!!

    Je suis contente car je suis plutôt zen ( merci véro ;-) )

    Toujours un peu de nausées, les seins douloureux, mais je mets ça sur le compte d'ovitrelle.

    J'ai profité des vacances pour rendre visite aux bébés PMA 2011 et 2012, ils poussent bien, et pour une fois ça me fait beaucoup de bien de les voir, les pouponner.

    Et je me vois encore plus avec mon bébé à moi ;-)

     


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  • Hier tranfert de deux blasto.

    On a dû se lever à 4h car notre train était à 6h15 et retour à 18h30 à la maison, on était claqués !!!

    J'ai dû faire une piqure d'ovitrelle ( normalement c pour déclencher l'ovulation).

    Du coup aujourd'hui, j'ai les effets secondaires: nausées et fatigue !!!

    Sur les conseils d'une amie, j'ai décidé d'appliquer le zazen : prendre les choses comme elles viennent, ne pas psychoter, laisser faire la nature et advienne que pourra !


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  • Eh oui je suis une grande cachotière, c'est ce mois-ci que nous faisons notre huitième tentative !

    Et la bonne nouvelle c'est que ça se fait sur cycle naturel !!! Zéro médoc !!! Mon rêve ...

    Demain aura lieu la rencontre avec nos loulous. On a le train à 6h15 donc va falloir se lever à 4h !

     

    Cette fois-ci on a décidé d'y croire, enfin j'ai décidé d'y croire ! lol !

    Je suis partagé entre une terrible envie et une frousse monumentale !

     

    J'ai peur, qu'est-ce que j'ai peur, après tant d'années de lutte, le bonheur va enfin arriver... Mais qu'est-ce que ça fait peur !!!

    Mes loulous décongelez-vous bien, soyez en pleine forme demain matin pour notre rencontre, préparez les pioches et la colle pour creuser votre nid, et surtout accrochez-vous bien, je vous aime mes amours !!!

    J'y crois, je vais être maman !!!


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  • Voici un article extrêmement intéressant pris ici.

    L'ICSI : International Consumer Support for Infertility - www.icsi.ws (site en anglais) - , en partenariat avec Serono, a eu l'excellente idée de créer une brochure destinée aux proches des couples souffrant d'infertilité, afin de les aider à comprendre ce qu'ils vivent, de mieux appréhender ce fameux "monde parallele" ...

    Voici le contenu de cette brochure :

      " L’infertilité peut être une expérience très stressante, et il est parfois difficile pour un ami ou un proche de comprendre ce qui lui arrive. Cela peut créer un malaise et susciter  des tensions dans les relations entre la personne infertile et les personnes qui lui sont proches.

      Cette brochure d’information décrit des faits et quelques aspects émotionnels liés à l’infertilité.

    Elle traite de quelques faits médicaux afin de  permettre la modification de certains mythes liés à l’infertilité, de mieux comprendre les réactions émotionnelles de leurs proches.

      Votre ami ou un de vos proches a un problème d’infertilité et vous voulez en savoir plus...

      Les personnes qui font l’expérience de l’infertilité trouvent parfois difficile d’en parler. Cette brochure d’information a été créée afin de vous aider à comprendre certains problèmes médicaux et émotionnels qui y sont liés, et vous suggère la manière dont vous pourriez peut-être apporter de l’aide à votre ami ou à votre proche.

      Quelques faits médicaux

       1. Définition Un couple est considéré comme ayant un problème d’infertilité lorsqu’il n’y a pas eu de conception après 12 mois de rapports sexuels réguliers et non protégés.

      2. Environ 15% des couples en âge de procréer ont un problème d’infertilité

    Vous trouvez cela difficile à croire? C’est parce que la plupart d’entre eux n’en parlent pas.

      3. L’infertilité n’est pas uniquement un problème féminin

    Dans environ 40% des cas, c’est un facteur masculin qui est à l’origine du problème d’infertilité et dans environ 40% des cas, c’est un facteur féminin. Pour les 20% restant, il s’agit d’un problème commun, ou bien la cause est méconnue («idiopathique»).

      4. Les causes de l’infertilité sont nombreuses et variées

    Quelques causes fréquentes sont: des problèmes liés à la production des spermatozoïdes ou des ovules, ou des problèmes liés aux trompes ou à l’utérus; une endométriose; de fréquentes fausses couches; une mauvaise qualité des spermatozoïdes. Quelques problèmes plus rares sont: des problèmes hormonaux et immunitaires (anticorps) aussi bien chez les hommes que chez les femmes.

      5. Les traitements contre l’infertilité sont nombreux et variés

    Les traitements fréquents sont: des médicaments qui augmentent la production des ovules; des interventions chirurgicales pour déboucher les trompes; l’insémination chez la femme avec des spermatozoïdes de son partenaire ou quelques fois d’un donneur; la fécondation in vitro (FIV) et les traitements associés comme l’ICSI.

    Certaines personnes essaient des traitements naturels comme la naturopathie, l’acupuncture ou la méditation. Les traitements contre l’infertilité ne sont pas toujours efficaces pour tout le monde. Certains couples choisiront de créer une famille en adoptant un enfant. D’autres décideront de vivre sans enfants.

      6. «Se reposer» ou prendre des vacances ne «guérit» pas de l’infertilité

    Pour 80% des couples, il existe une cause médicale connue. Pour ceux dont la cause reste inexpliquée (infertilité «idiopathique»), tout ce que nous savons est que la science médicale n’a pas encore pu établir la cause. Il n’y a pas de preuve que le stress soit une cause d’infertilité. Cependant, il existe beaucoup de preuves pour dire que l’infertilité provoque du stress!

      7. L’adoption ne «guérit» pas de l’infertilité

    Vous avez probablement entendu parler d’un couple- ou peut-être en connaissez-vous - qui a vécu un problème d’infertilité pendant des années, qui a ensuite adopté un enfant, et qui a finalement vécu une grossesse. Peut-être avez-vous cru que ce couple a pu procréer parce qu’il a «arrêté d’y penser» Un certain nombre d’études ont examiné ce phénomène, et ont démontré que des couples infertiles qui n’adoptent pas ont les mêmes chances de vivre une grossesse après quelques années que les couples qui ont recours à l’adoption. Cela s’explique par le fait que seul un petit pourcentage des couples infertiles réussissent à concevoir un enfant après un certain nombre d’années. Nous entendons probablement davantage parler des  couples qui ont choisi la solution de l’adoption.

       Quelques aspects émotionnels

      1. L’infertilité est un événement de vie traumatisant et déstabilisant. La perte de sa fertilité - le rêve d’avoir une famille - est située sur le même plan que la perte d’un être cher. La dépression qu’un couple infertile peut connaître se poursuit parfois pendant des années.

     Pour la plupart des gens, avoir une famille fait partie d’un processus de vie normale: on va à l’école, on grandit, on se marie, on a des enfants, on passe des années à les éduquer, on prend sa retraite et on voit ses petits-enfants grandir. La perte de ce rêve est une expérience traumatisante. Nous vivons dans un monde où la plupart des gens réalisent ce rêve. Par conséquent, les couples infertiles sont constamment entourés d’images d’enfants et de familles - des rappels douloureux de ce qu’ils n’ont pas. Leurs amis et leurs familles  ont souvent des enfants précisément au moment où ils se battent contre le fait qu’ils ne peuvent pas en avoir.

       Vous devrez peut-être une fois ou l’autre apprendre à votre ami ou à votre proche que vous-même ou quelqu’un de votre entourage attend un enfant. Vous vous sentirez probablement mal à l’aise, et lui aussi.

    Que pouvez-vous faire ? Ne le cachez pas ou ne le mettez pas de côté trop longtemps - dites-le-lui, avec sensibilité, et non pas devant un groupe de personnes mais plutôt lorsque vous serez seuls, ou en écrivant une lettre. Gardez à l’esprit que ces nouvelles le déstabiliseront et qu’il réagira peut-être d’une façon qui vous paraîtra étrange ou inconfortable.

       2. Certaines personnes ressentent leur infertilité comme une perte de contrôle totale

     L’infertilité implique la perte de contrôle de son avenir de procréation. Les personnes infertiles se trouvent parfois dans la position de devoir organiser leur corps et leurs vies autour d’une série d’investigations et  de cycles déterminés par la médecine; permettant ainsi à d’autres de scruter leur vie sexuelle et leurs organes génitaux; recevant des instructions sur les moments propices pour faire l’amour, sur le comment et quand se masturber dans un récipient en plastique; ou encore devant prouver leur capacité d’être parents à un département d’investigation gouvernemental (s’ils font une demande d’adoption). Les personnes infertiles vivent ceci comme une terrible perte de contrôle. Ils peuvent donc avoir des crises de colère dirigées envers  des cibles qui ne sont pas toujours les plus appropriées.

       3. Certaines personnes disent vivre, durant leur stérilité, des «hauts» et des «bas» d’origine émotionnelle, qui les font se sentir comme si elles étaient sur des montagnes russes dans un parc de jeux.

     Vous vous représentez comment cela peut être de se trouver sur une montagne russe - plus vous prenez de l’altitude, plus la descente est pénible. Les personnes infertiles décrivent parfois leur expérience de la manière suivante. Elles peuvent se sentir emportées par un «haut» d’optimisme lorsqu’elles commencent un traitement ou une nouvelle action (par ex. une demande d’adoption). Elles commencent alors à rêver de landaus et de cérémonies de baptême. Mais après cela, la réalité intervient. Les femmes ont de nouveau leurs règles, ou le traitement échoue, ou l’assistant social qui s’occupe de leur cas commence à poser des questions difficiles. A ce moment-là, les sentiments de ces personnes sont très fragiles et elles se sentent chuter d’un coup.

      4. Les personnes impliquées font face à l’impact émotionnel de leur infertilité de façon individuelle, bien qu’il y ait quelques points communs

      Dépression : C’est normal - et acceptable -que ces personnes se sentent déprimées par rapport à leurs problèmes de fertilité, et c’est aussi normal qu’elles évitent, à certains moments, le contact avec autrui

      Evitement: Ne soyez pas surpris ou vexés si votre ami ou votre proche ne veut pas passer de temps avec vous. Si vous avez une famille jeune ou si vous êtes enceinte, cela pourrait être bien trop douloureux pour eux d’être confrontés à votre fertilité. Peut-être ont-ils juste besoin d’être seuls pendant quelque temps. Les moments familiaux comme Noël, la fête des mères, la fête des pères et les baptêmes sont particulièrement difficiles pour eux car ils sont entourés des familles de tout le monde. Ils peuvent parfois se sentir obligés d’être présents à ces fêtes bien qu’ils se sentent très mal à l’aise. Cependant, n’arrêtez pas de les inviter, mais laissez-leur le choix de venir ou pas. Faites-leur savoir que vous avez envie de les voir, mais que vous comprendrez s’ils décident de ne pas venir. Ils ont besoin de savoir que vous les aimez, et peuvent éventuellement accepter quelques-unes de vos invitations. Essayez de ne pas couper les liens avec eux, même si cela fait quelque temps que vous ne les avez pas revus.

      Secrets: Certaines personnes n’ont pas envie de dévoiler leur infertilité, même à leur famille proche. Beaucoup d’entre elles ne se confient qu’à quelques proches. Les personnes qui font l’expérience de l’infertilité ont peut-être peur que les gens croient des choses fausses (par ex. qu’elles ne font pas les choses correctement), que les gens disent des choses fausses (par ex. « mon mari et moi n’avons eu qu’à nous regarder pour que je tombe enceinte! ») ou que les gens les mettent mal à l’aise. Certaines personnes pensent que c’est un sujet très personnel, et que cela ne concerne personne d’autre. D’autres encore se sentent trop vulnérables et sensibles à ce sujet pour en discuter avec autrui. Vous devriez respecter le désir  de confidentialité de votre ami ou de votre proche.

      Que puis-je faire d’autre pour soutenir mon proche ?

      Soyez disponible.

    Il y aura des moments où il/elle ne voudra pas vous voir, mais dites-lui que vous êtes là pour lui quand il / elle en aura l’envie.

      Ecoutez.

    La chose la plus précieuse que vous pouvez apporter est votre écoute. Malheureusement, il n’y a rien que vous puissiez dire qui les fera se sentir mieux, alors essayez de ne pas donner de conseils ou de les rassurer. Cela sera peut être difficile quand vous aurez envie de les réconforter. Parfois, des remarques bien intentionnées peuvent renforcer leur malaise: «je sais comment tu te sens» (alors que vous ne le savez pas); «alors, tu as plus de chance que....» (lorsqu’ils ne se sentent pas chanceux du tout); «tu ne devrais pas te sentir comme ça» (alors qu’ils se sentent ainsi de toute façon). Cependant, cela peut être bien de parler des  mauvaises nouvelles si vous savez qu’ils en ont eues, et de dire simplement «j’ai appris la mauvaise nouvelle, et je suis vraiment désolé» peut être incroyablement réconfortant.

    Quelquefois, les personnes infertiles reçoivent le conseil de la part d’amis ou de proches de «simplement adopter», conseil qu’elles trouvent terriblement frustrant. Beaucoup ont envisagé cette alternative, et se sont rendu compte que cela n’est pas si évident d’adopter dans tel ou tel pays. De plus, il s’agit d’un processus difficile, aussi bien du point de vue émotionnel que financier. Ce n’est pas aussi simple que cela de «simplement adopter».

      Essayez de ne pas les juger.

     Vos amis ou vos proches peuvent faire des choses que vous trouvez fausses, voire même irrationnelles. Par exemple, ils peuvent décider de stopper un traitement quand ils auraient pu continuer, ou bien poursuivre lorsque cela vous semble évident que ça ne marchera jamais, ou adopter un enfant plutôt que d’essayer la FIV ou l’IAD. L’infertilité provoque des sentiments très intenses chez les gens. Vos amis peuvent trouver que la FIV provoque un stress émotionnel très intense; ou ils peuvent décider de persister avec un traitement inefficace afin de se prouver à eux-mêmes qu’ils ont tout essayé; ou alors ils peuvent décider de ne pas persister à cause des contraintes financières ou à cause des effets néfastes que l’échec a sur leur relation. Leurs sentiments liés à l’infertilité peuvent échapper à votre compréhension, alors essayez de ne pas les juger. Ils font probablement ce qui est juste pour eux. Vous les entendrez peut-être parler des personnes fertiles de façon agressive, ce qui pourrait vous inquiéter, par ex. «Parfois quand je vois une femme enceinte dans la rue j’ai envie de la bousculer» ou, «si je vois encore une autre voiture familiale pleine d’enfants avec le sourire satisfait de leur père, je vais me sentir mal et avoir envie de pleurer». Cela est normal (c’est un signe de deuil ou de jalousie), et il est acceptable d’en parler. Parfois ils ne peuvent pas s’empêcher de ressentir ces choses-là, mais cela ne veut pas dire qu’ils vont nécessairement faire ces choses!

      Suggérer qu’ils demandent de l’aide professionnelle si leur deuil ou leur dépression semble se prolonger et devenir handicapant.

     C’est normal pour votre ami ou votre proche infertile de faire l’expérience d’une dépression ou d’un deuil.

    Mais si cela continue trop longtemps et interfère avec sa vie quotidienne et ses relations, il serait bien de lui suggérer qu’il demande l’aide d’un conseiller professionnel. Le personnel de son groupe de soutien ou l’unité de fertilité la plus proche pourra lui conseiller l’aide de quelqu’un. "


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  • Hier est né le 5è bébé de mes copines PMA: 1 fille issue d'une première fiv, 2 jumeaux issus d'une fiv 2, 1 garçon d'une fiv 3 parisienne et le dernier un garçon d'un stimulation.

    Et une de mes amies est enceinte suite à une IAD ( insémination artificielle avec sperme de donneur)

    Donc oui la PMA peut marcher et heureusement d'ailleurs !


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  • Hier dans notre boite aux lettres, notre agrément nous attendait.

    Nous sommes donc apte à adopter un enfant de moins de trois ans, en bonne santé ou porteur d'une maladie curable.

    Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point ça fait du bien de s'entendre dire qu'on ferait de bons parents !!!

    On sait que l'attente va être très très longue mais c'est déjà une belle étape de franchie !!!


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  • Une fois toute les pièces réunies, il faut envoyer le dossier;

    Il ne faut pas trop traîner car si vous voulez adopter un pupille, c'est la date de réception du dossier au CG qui compte et non la date d'obtention de l'agrément.

    Notre dossier a été reçu le 18 novembre 2010.


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  • Je vous rassure, c'est une simple visite médicale. Il faut y aller avec des résultats sanguins récents.

    Elle nous a pris la tension, nous a pesés, mesurés.

    Elle a rempli le dossier et nous a dit que c'était bon pour elle !


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  • Il comporte deux parties (attention ça peut varier d'un département à un autre):

    - une partie renseignement,

    - une partie médicale.

    Joint à ce dossier, nous trouvons une liste de médecins agréés pour la consultation obligatoire et là surprise il y a le médecin traitant de ma meilleure amie !!!

    Nous sommes donc allés la voir.


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  • Cette réunion a pour but de donner des informations sur l'adoption mais elle sert aussi à faire le tris entre ceux qui veulent vraiment adopter et ceux qui ne sont pas prêts.

    Il faut dire que les intervenants évoquent des cas où l'adoption s'est très mal passée.

    Ils parlent aussi de la longue, très longue attente, des pays qui se ferment de plus en plus...

    L'adption est difficile et sera de plus en plus difficile. Les pays se ferment les uns après les autres car ils sont saturés en demande. Et on nous a dit que ça sera de pire en pire ...

    Donc il faut être très motivé pour continuer !!!

    Et c'est notre cas !


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  • La première étape pour adopter est d'envoyé une lettre au conseil général de notre département.

    Celle-ci doit être adressée au président et envoyée au Bureau des adoptions.

    Nous nous sommes inspirés de ce modèle (ici)

     Quelques semaines après, nous avons reçu une convocation à une réunion d'information. C'est au cours de cette réunion que nous aurons le dossier de demande d'agrément.


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  • en cours ...


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  • 6

    On a 6 blastos congelés.

    L'aventure n'est pas finie.

    En route pour la huitième tentative ...


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  • Ben voilà faut faire la prise de sang.

    On se rend au labo vers 8 h, puis on part en vadrouille toute la matinée.

    A midi on retourne au labo, et là dans les yeux de la secrétaire, je comprends...

    On sort du labo, j'ouvre la lettre " c'est négatif", je m'effondre ...


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  • Le lendemain du deuxième transfert, lorsque je me suis réveillée, j'ai ressenti un vide ...

    Cette sensation fut horrible, les larmes coulaient ...

    Ils ne sont plus là... Non ... Pas encore ...

    Je ne l'ai pas dit à mon mari. Il y croyait tellement...

    J'ai fait comme si de rien n'était... Mais il n'était pas dupe. Il m'a dit que si je n'y croyais pas forcément ça ne marcherait pas... Mais comment lui faire comprendre que je n'y suis pour rien...

    Je n'avais pas baissé les bras, c'est juste que je me sentais vide ...

     


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  • Vous vous souvenez: dans notre premier centre on avait eu qu'un seul transfert sous écho mais on ne nous avait pas mis l'écran.

    Quand on avait raconté ça au doc de Paris, il nous avait dit que c'était inhumain. Pour lui, tous les transferts doivent se faire sous écho. Ca permet au gynéco de voir s'il dépose les embryons au bon endroit et au couple de voir "leurs bébés"

    Eh bien on a pas été déçus !!!

    Un moment extraordinaire !!!

    Il nous a d'abord montré le "nid", il a mis le cathéter en disant qu'il allait installer notre petit. Il nous a tout expliqué sur l'écran, nous a demandé si l'endroit nous convenait et hop il l'a mis dans son nid.

    Pour une fois on a réellement pris conscience qu'on nous a transféré un embryon !!!

    Durant les deux jours suivants, je me suis pour une fois sentie "enceinte".

    Nous avons fait notre deuxième transfert, encore un moment magique !!!

    Et c'est parti pour une dizaine de jours d'attente !


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  • Le lendemain matin à 8 h, je reçois un appel du gynéco: 14 embryons.

    Il nous propose de faire un double transfert, un à J3 et un à J5. On est ok !

    Deux jours après, on se rend à la clinique, on apprend que les 14 embryons sont toujours là et qu'ils sont de très bonne qualité.

     


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  • Début septembre, je commence le traitement.

    Je fais quelques aller-retour pour contrôler que tout se passe bien puis nous nous installons à Paris quelques jours avant la ponction.

    Tout se passe très bien, les ovaires bossent bien, l'endomètre est nickel ! Et quand il m'annonce le nombre de follicules ponctionnables, je tombe de haut: 21 !! Incroyable !!!

    Dans l'autre centre j'en ai eu maxi 11!

    21 !!!  Oh lala !!!!!!!

     

    Le jour de la ponction arrive enfin.

    L'équipe médical de la clinique est super, mon gynéco avait un peu de retard, donc ils passaient souvent me voir pour me demander comment j'allais, pour me rassurer.

    Le gynéco arrive, on m'installe sur la table. Et je me redis que c'est vraiment quelqu'un d'exceptionnel !

    Je me réveille en salle de réveil et dix minutes après, le doc arrive et me dit que finalement il en a ponctionnés 23 !!! YES !!!

     


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